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WeMakeScience

Blog d'Etudiants en Etiopathie

ABOUT US

 

 

 

We are first-year Parisian students in Etiopathy* and are interested in scientific aspects of the human health.

As part of this latter interest, between 2016 and 2019, we produced a number of outputs, including one survey, thirty blog posts, and nine posters.

 

These outputs offered us an avenue to deliver health education, increase our communication skills, and inform our teaching curriculum.

 

Our work was coordinated by Professor Dr. Ing. Melania Kiel.

*The Free Faculty of Etiopathy of Paris, as teaching and research institution, favours an innovative pedagogy.

 

 

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DID YOU KNOW?

Les étiopathes manipulent des ... molécules !

Par Melania Kiel

 

Pour traiter leurs patients, les étiopathes se servent de leurs mains.

Leurs gestes peuvent être assimilés à des signaux physiques (stimulations mécaniques) qui déclenchent au sein du corps humain, leur "reconnaissance", en tant que première étape dans la production d'une réponse adaptative coordonnée. Au niveau des organes, des tissus et des  cellules, cette reconnaissance met en jeu des facteurs physico-chimiques (T, pH, P(O2), osmolarité, nutriments, métabolites). S'ensuit la "libération d'hormone" (un ou plusieurs), impliquant conséquemment la "génération d'un signal" par la participation des protéines signal intracellulaires, au rôle régulateur de l'activité des protéines dites effectrices (enzymes du métabolisme, composants du cytosquelette, canaux ioniques, facteurs de transcription).  Selon le cas, un "effet" se reflétant dans le métabolisme, la forme de la cellule et son mouvement, les concentrations ioniques, le potentiel de membrane, l'expression de gènes, sera, par la suite, produit.

Main et molécules
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SURVEY

Mon hygiène de vie

Par Promotion 2016-2022 et Melania KIEL

 

Le 10 mars 2016, Les Echos publiaient "Le seuil de 10 millions de Français atteints par une affection de longue durée (ALD) a probablement été dépassé [...]." Parmi ces affections, c'est le diabète, notamment de type 2 (rencontré y compris chez l'enfant !), et le cancer qui occupent les deux premières places. A leur origine, une alimentation déséquilibrée, la consommation d'alcool, la sédentarité, la surcharge pondérale et l'obésité qui en résultent, le stress, dans toutes ses formes.

 

"L’expérience a montré que des mesures simples de modification du mode de vie pouvaient être efficaces pour prévenir ou retarder un diabète de type 2. Le maintien d’un poids normal, la pratique régulière d’un exercice physique et une alimentation saine peuvent réduire les risques de diabète."

 

"40% des cancers pourraient être évités si nous changeons nos comportements quotidiens."

S'ajoutent, pour le cancer, les rayonnements naturels et artificiels, les xénobiotiques (biocides, nanoparticules, métaux lourds, médicaments, etc.), l'exposition à certains virus et bactéries.

Face à ces constats, nous nous sommes proposés de sensibiliser nos collègues de faculté, quant à nos modes de vie. C'est à cet effet que nous avons mené une enquête intitulée "Mon hygiène de vie". Construite sur des principes méthodologiques appropriés, soumise à des restrictions volontaires (durée, territoire, population) et involontaires, notre enquête s'est constituée en un excellent exercice de découverte et d'apprentissage.

Plusieurs aspects furent abordés : l'alimentation (alimentation solide, boissons, habitudes alimentaires),  l'alcool et le tabac, le sommeil et l'exercice physique. Les données provenant d'un échantillon de 57 étudiants, femmes et hommes de notre faculté, ont fait l'objet de notre analyse basée sur le logiciel Excel. La collecte des informations a été faite en face à face, pour certain(e)s, et  par internet (email), pour certain(e)s d'autres. (Pour une enquête de grande ampleur, l'utilisation de SurveyMonkey serait plus judicieuse.) Du coté alimentaire et au niveau de la consommation de tabac et de la pratique de l'exercice physique, les résultats de notre enquête sont plutôt encourageants. C'est sur le sommeil et la consommation d'alcool, malgré qu'elle ne soit pas quotidienne, que les résultats patinent. A l'avenir, une enquête, basée sur SurveyMonkey, regroupant les étudiants en provenance des nos quatre facultés et développant le questionnaire relatif au sommeil et à la consommation d'alcool,  pourrait être envisagée.

Le sommeil est une fonction physiologique. Complexe, cette fonction est vitale pour l'organisme, car elle permet la récupération et la réparation nécessaires à faire face aux demandes de la vie, sous ses différents aspects. L'accumulation travail et études, le stress relié à la réussite aux études, la surexposition à la lumière bleue projetée par les écrans des smartphones, ordinateurs, tablettes, TV, jusque tard dans la soirée, la consommation d'alcool (seul excitant consommé par un % important d'étudiants, parmi d'autres excitants invoqués (café, boissons énergisants et thé), même si pas quotidiennement), sont, très probablement, responsables  des résultats que nous avons obtenus. Une enquête détaillant ces aspects pourrait valider/invalider notre hypothèse.

L'alcool, dans le sens de "spiritueux", désigne un composé organique dénommé "éthanol". A l'intérieur du corps humain, ce composé agit en tant qu'aliment (le corps humain le transforme, par métabolisation, en CO2, H2O et énergie), drogue (il agit comme dépresseur et diminue les fonctions du cerveau) et poison (car létal, si consommé en une grande quantité et un laps de temps court, nocif si consommé à long terme).

"Même sans être « alcoolique », la consommation d’alcool a une influence sur le développement de nombreuses maladies : cancers, maladies cardiovasculaires et digestives, maladies du système nerveux et troubles psychiques. L’alcool peut également être à l’origine de difficultés plus banales (fatigue, tension artérielle trop élevée, troubles du sommeil, problèmes de mémoire ou de concentration, etc.)."

 

Mauvaises nouvelles pour nous, le cerveau des jeunes est plus vulnérables à l'alcool que celui des adultes.

 

A ne pas perdre de vue : par année, à lui seul, l'alcool tue plus des personnes que le SIDA, la violence et la tuberculose prises ensemble ! En France, selon l'OMS, "l'alcool représente la deuxième cause évitable de mortalité par cancer, après le tabac".

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Pour consulter le contenu de notre enquête, cliquer sur X

BLOG

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POSTERS

Cloé Delaveau

Angelina Limandri

Nathan Moisson

Manon Pietribiasi

Mona Lisa.png

Caroline Zriba-Berger

Louis Farge

Yohan Geromay

Melania Kiel

Caroline Zriba-Berger

Marianne Lavarenne

Melania Kiel

Jonathan Arnau

Nadia El Bachri

Angélique Labique

Hélène Pontailler

Céline Rosa

Yvan Pissarenko

Marine Stokjanowski

Gaspard Idjer

Antoine Gautier

Clothilde Buisson

Inès Corot

Préscilia Pace

Marion Vincent

Jonathan Arnau

Nadia El Bachri

Angélique Labique

Hélène Pontailler

Céline Rosa

Antoine Buda

Maëlle Hamon

Hugo Lemelle

Simon Mallet

Pablo Souffron

Angélique Labique

Melania Kiel

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